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10 décembre 2015 4 10 /12 /décembre /2015 09:58

Aux lendemains du processus consacré aux opérations de renouvellements des organes de base du RDPC dans le Moungo, l’heure est au tirage de leçons.

En effet, après la proclamation des résultats par la commission présidée par Louis YINDA, de nombreux recours en annulation ont été introduits auprès du comité central du RDPC par des candidats malheureux. Ceux –ci estiment que des manœuvres irrégulières ont été utilisées pour leur faire perdre des élections. De la violation des dispositions de la circulaire de Paul Biya relative à ces renouvellements au parti-pris des responsables des commissions électorales, les votes multiples, l’achat des consciences, le bourrage des urnes, etc. Les plaignants égrènent le chapelet de griefs. Le cas de Nkongsamba 3ème est évocateur. Dans un recours en annulation bétonné, les têtes des listes RDPC, OFDPC et OJRDPC dénoncent cette opération dans leur circonscription. Des doigts accusateurs sont pointés sur des militants du RDPC tels que Sime Pierre, El Hadj Oumarou, Ewane Christian et même sur les membres de la commission dont IssolaDipanda et la présidente Dissake Marguerite. Dans un ton dur et étayant leurs accusations par des images, témoins, NgolloNgama Emmanuelet ses compagnons réclament l’annulation pure et simple de ces élections et leur reprise. Selon toujours ce recours, les plaignants évoquent des images de CRTV tournées sur le site des opérationsquiconstitueraient des pièces à conviction.

Selon des observateurs, <<le dossier présenté par NgolloNgama Emmanuel, membre titulaire du comité central et ses colistiers est pertinent et devrait donner lieu à une suite favorable de la part de Jean Nkuete…>>. Sauf que le RDPC a habitué les camerounais à ne jamais se conformer à ce qui est logiquement et démocratiquement avéré. Jean Nkuete est bien souvent soupçonné d’avoir des accointances avec des pontes du RDPC à Nkongsamba. Aura-t-il suffisamment de hauteur pour analyser objectivement ce recours que des autorités à Nkongsamba qualifient sous anonymat de <<fondé>> ? Le doute est permis. Toutefois, le comité central du RDPC gagnerait à rendre justice en envoyant ne serait-ce qu’une commission d’enquête à Nkongsamba pour connaître de cette situation. Une mauvaise approche de cette situation pourait avoir des conséquences pour le parti de Paul Biya lors des prochaines élections.

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10 décembre 2015 4 10 /12 /décembre /2015 09:55

Avec un rapport de performance 2015 largement au dessus de la moyenne, le maire Félicité Manon de la commune d’Ebone vient de tenir conseil municipal de vote du budget 2016.

Les travaux se sont tenus le 19 novembre 2015 à Ebone dans la salle des délibérations de la mairie sous la présidence de la première magistrate municipale, Félicité Manon, sous l’œil attentif du représentant de l’Etat, le Préfet Thomas Hona.

Evalué en recettes et en dépenses à la somme de………..…

Le budget 2016 de la commune d’Ebone se situe dans le sillage de la confirmation de l’option de développement prise par l’exécutif municipal… Outre la poursuite de actions de reprofilage et d’ouvertures de routes telles que celles reliant Ndoungué à Salmoa, Ebone à Ntolo, Ebone àMangamba, Nkongnine à Manbellion, etc, l’exécutif municipal d’Ebone entend continuer à mettre un accent majeur sur la construction des ouvrages de base et générateurs de revenus. Les hangars de marché, les aires de stationnement, les salles de classe, l’adduction en eau potable, l’électrification, vont constituer les grands axes du budget 2016 de la commune d’Ebone. Cependant Félicité Manon ne souhaite pas rompre avec la dynamique d’ensemble qu’elle a impulsée parce que « le Nlonako va se développer avec l’apport de tous ses fils et filles sans exclusive… », Aime-t-elle à dire. Un appel à la solidarité agissantebâtie autour du concept « Nlonako Ensemble » et qui porte déjà de nombreux fruits sur le plan social.En témoigne la dernière campagne de consultations et de soins gratuits organisée avec le soutien de la fondation MTN sous la médiation d’un digne fils du Nlonako.

C’est donc une année 2016 encore plus fertile à l’horizon dans le Nlonako sous le magistermunicipal du maire Félicité Manon qui se profile à l’horizon.

Titan Yonkeu

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10 décembre 2015 4 10 /12 /décembre /2015 09:54

Le conseil municipal de vote de budget de la commune de Baré s’est réuni ce vendredi 27 Novembre 2015. C’était à cet effet d’examiner et de voter le budget 2016 de la commune.

Les travaux présidés par Patrice Kwedja, maire de Baré étaient supervisés par Prosper AbahAbah, Sous-préfet de Baré-Bakem, représentant le Préfet du Moungo, tutelle des communes du Moungo. Au sortir des travaux de ce conseil, le budget d’un montant de 357 768 152F CFA équilibré en recettes et en dépenses a été voté. Un budget 2016 qui va marquer une étape décisive dans la modernisation de la ville de Baré. Selon Patrice Kwedja, « 2016 va marquer une année de grandes avancées dans l’amélioration des conditions de vie des populations de Baré-Bakem… ». Et pour traduire cela en actes concrets, l’exécutif municipal de Baré entend mettre un accent sur le reprofilage des routes desservant toutes les localités afin de faciliter l’évacuation des vivres. Mieux, Patrice Kwedja et son équipe projettent de doter Baré d’un marché central digne tout autant qu’il a programmé de désenclaver la ville de Baré en modernisant le carrefour Yimo, sur la Nationale Numéro 5. Ici, à côté du motel municipal en cours de mise en activité, un parking gardé pour transporteurs verra le jour tout comme le lancement d’un office communal de tourisme et imminent. Autant d’actions devant être financées sur fonds propres et avec l’aide de partenaires tels que le MINEPAT, LE PNDP, etc…

C’est donc une année 2016 pleine d’optimiste qu’entrevoit le Maire KwedjaPatrice pour ses populations. Il appelle celles-ci à faire montre de patience car le meilleur pour elles va se conforter en 2016.

Doris Gana

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10 décembre 2015 4 10 /12 /décembre /2015 09:44

Le 56ème trophée de l’histoire de la coupe du Cameroun séjourne depuis le 26 Novembre 2015 dans la ville de Loum, Département du Moungo, Région du Littoral et pour que cela soit possible, il a fallu que l’union des mouvements sportifs (UMS) voie le jour.

La deuxième équipe de la ville de Loum après le mythique ouragan Football club de Loum, crée au cours de la saison 2010-2011, a réussi le pari de faire écrire encore en lettres d’or le nom de Loum dans l’histoire du Cameroun.

Sur le plan politique, Loum a été porté au panthéon avec l’entrée de Louis Henri Ngantcha au comité central du parti au pouvoir au Cameroun puis au sommet des communes d’Afrique avec l’élection du même Louis Henri Ngantcha au poste de tout premier président du réseau Africain de la coopération décentralisée. Voilà que l’UMS vient redorer le blason de cette ville de Loum en remportant haut la main la coupe du Cameroun, édition 2015. Une victoire obtenue avec panache devant le président Paul Biya en présence du tout fraîchement installé Gouverneur de la région du Littoral Dieudonné IvahaDiboua, le 22 Novembre 2015.Ce trophée est entré solennellement dans la Région du Littoral et a été présenté au numéro de la Région ce 25 novembre 2015. Le Moungo, ville d’appartenance de ce trophée et Loum ville la terre de l’UMS et ville de résidence de ce trophée, ont accueilli le précieux sésame ce 26 Novembre 2015. Une entrée attendue et saluée par la foule de fans et de milliers supporters aux anges.

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10 décembre 2015 4 10 /12 /décembre /2015 09:43

Les travaux de la session consacrée à l’examen et au vote du budget 2016 de la commune d’arrondissement 3e ont été perturbés par un groupe de conseillers municipaux.

En effet, ce groupe de conseillers municipaux conduits par Yvonne EYIDI, n’ont pas permis que les travaux se tiennent ce 17 Novembre 2015. Cette attitude irresponsable a été motivée par la volonté de huit de ces conseillers municipaux dissidents depuis l’ouverture de la mandature 2013 – 2018, de se montrer solidaires de trois d’entre eux dont les démissions avaient été constatées. Yvonne EYIDI, malheureuse candidate au poste de maire, Antoine DJOMATCHOUA et Madeleine FONTE étaient tombés sous les coups des dispositions de la loi en en ses articles 48 et 50, relatifs aux absences non justifiées des travaux du conseil municipal. Ces trois conseillers avaient délibérément choisi de ne plus prendre part aux travaux, refusant par conséquent de s’atteler aux activités pour lesquelles ils avaient reçu un mandat de conseillers municipaux. Conformément aux dispositions légales, leurs démissions ont été constatées par le conseil municipal en sa session des comptes du mois d’Avril 2015 par le biais d’une délibération validée par la tutelle. N’ayant introduit aucune requête en opposition ou en grâce, ces trois conseillers ont voulu prendre part aux travaux du conseil du budget 2015. L’accès leur ayant été refusé par les forces du maintien de l’ordre qui avaient été informés de cette manœuvre de désordre, ils ont décidé d’entrainer leurs huit collègues avec eux dans le boycott des travaux. Malgré les conseils et les rappels à l’ordre du préfet du Moungo, Thomas HONA qui présidait personnellement ces travaux, Yvonne EYIDI et ses amis sont restés inflexibles. Certains d’entre eux allant jusqu’à faire montre d’insolence et d’irrévérence vis-à-vis de monsieur le Préfet. Ceux-ci cherchaient rassemblement à créer un incident mais ne sont pas parvenus à leurs fins. Les conseillers non concernés par l’exclusion se sont montrés solidaires des trois exclus. On aura alors vu la conseillère municipale démissionnaire, Yvonne Eyidi, claironnant sur les antennes de certaines chaines de télévision qu’on lui a avait volé sa place comme si ce sont ces chaine qui élisaient des maires au Cameroun. Une attitude qui met à nu le manque de cohérence et de structuration de certains apprentis-politiciens qui mènent des combats sans en connaître les règles.

Ces travaux ont été suspendus faute de quorum. Conformément aux dispositions de la loi, la session a été renvoyée au vendredi 19 Novembre 2015.

Et comme reprogrammés, ces travaux se sont bien tenus et ont débouché sur le vote du budget 2016 de la commune d’arrondissement de Nkongsamba 3ème.

Doris Gana

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10 décembre 2015 4 10 /12 /décembre /2015 09:42

Suite à sa nomination au poste de ministre des relations extérieures par Paul Biya, le 02 octobre 2015, les militants RDPC du Moungo ont célébré Lejeune MbellaMbella, le samedi 31 octobre à la place des fêtes de Nkongsamba.

Venus de tous les arrondissements du Moungo et même en dehors, les militants et sympathisants du RDPC se sont retrouvés à Nkongsamba pour « dire merci à PAUL BIYA pour la nomination du camarade MbellaMbella le jeune au gouvernement ». Une phrase qu’on a entendue dans l’essentiel des discours prononcés et qu’on a lue sur de nombreuses banderoles. Témoins de l’histoire : ils étaient nombreux autour de Thomas Hona , préfet du Moungo et véritablement chef d’orchestre de l’événement ; l’on pouvait apercevoir, les ministres Dong Soumhet , envoyé spécial du comité central du RDPC , NgalleBibehe des enseignements secondaires , …,Le Secrétaire Général des Services du Gouverneur du Littoral, Frederick Ngwa, des sénateurs dont Kemayou Louis et EbongueNgoh , des députés dont Joseph Ernest Essame et Epoube Lydienne , des maires , des sectoriels régionaux et départementaux , des membres de la famille du ministres MbellaMbella.

si l’on peut reconnaitre que le faste et la solennité ont été de la partie, cela traduit tout simplement que le Moungo avait longtemps attendu ce ministre depuis 2011 ; mieux il faut interpréter en cette mobilisation des militants du RDPC, la culture d’hospitalité et de générosité qui caractérise les populations du Moungo en général. Et avec la cerise artistique apportée par Prince NdediEyango qui a convié ses collègues et frères artistes, Nkotti François, Ekambi Brillant et Misse Ngoh FRANCOIS, le public présent a pris du plaisir.

Toutefois, il faut relever que si la fête a été belle, des couacs curieux ont attiré l’attention des esprits avisés : D’abord la mise à l’écart des partis politiques de l’opposition. Ils n’étaient visibles nulle part et selon certains d’entre eux interrogés, ils n’auraient été associés à aucune des étapes de la préparation, de l’organisation et même de sa tenue. Si avérée, cela voudrait trahir l’apparente cohésion qui a été promue dans les discours entendus. un autre cliché triste aura été le caractère improvisé de certains intervenants qui bien que n’étant pas programmés pour prononcer un discours, manœuvreront au vu et au su de tous, pour prononcer un discours creux qui était une redite du discours pourtant bien clair et inclusif du Délégué du Gouvernement auprès de la communauté urbaine de Nkongsamba. Dans le même sillage, un « dignitaire » bamiléké du Moungo honoré par le comité d’organisation dont le président était bien son ami, n’a pas jugé opportun d’être présent à cette belle fête. Des sources ayant ben indiqué qu’il était bien au Cameroun. Son absence aurait même pu passer inaperçue si son un de ses lieutenants n’avait pas eu la curieuse idée de rédiger un discours dans lequel on entendait à n’en plus finir des « il m’a dit…, il m’a demandé…, il me charge … ».

Toutes ces curiosités à tout le moins désagréables ont retenu l’attention des observateurs et ont permis de dire que le chemin est encore long pour que l’organisation des évènements d’envergure départementale dans le Moungo fédère la majorité. Le péché étant que le comité d’organisation soit toujours confié à des personnalités complètement décalées et déconnectées du terrain et qui ont la fâcheuse tendance à vouloir tout importer. Des personnes ressources jusqu’à la logistique comme si Nkongsamba et/ou le Moungo était des zones non civilisées. Le cas de cette fête confiée à Etame Massoma a révélé une fois de plus qu’il a de la peine à piloter de grandes choses dans le Moungo. Heureusement que le préfet thomas Hona, fidèle à sa vision de sage, a pu recadrer certains aspect à temps sinon l’on aurait assisté à un vrai fiasco. Ces couacs permettront –ils de tirer des leçons pour l’avenir ? Qui vivra verra !

Titan Yonkeu

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10 décembre 2015 4 10 /12 /décembre /2015 09:38

Au moment où l’on s’achemine vers la fin de l’exercice budgétaire 2015, l’heure est à l’évaluation. Et c’est à cet exercice que se sont livrés les membres du comité départemental du suivi participatif du budget d’investissement public (BIP) 2015 dans le Moungo. C’était au cours d’une réunion tenue ce 16 Octobre 2015 à Nkongsamba.

Les travaux présidés par Emile EKANGO, vice-président du comité, étaient supervisés par Bala Souaïbou en présence des sectoriels départementaux, des chefs traditionnels, des magistrats municipaux, des leaders des associations de la société civile, des médias, etc… Outre les discours ayant ponctué ces travaux, les rapports présentés tant par le comité de suivi et par le sous-comité technique, il a été procédé à une exploitation des Etats des réalisations du BIP 2015 dans le Moungo. Globalement, il appert que sur 88 projets d’une valeur 1 027 964 000F CFA, le taux physique d’exécution est de 32%. Sur le plan départemental, 31 projets ont été inscrits pour une valeur de 382 977 000F CFA pour un taux d’exécution physique de 63 %. Sur le plan central, 5 projets évalués à 220 903 000F CFA ont été prévus pour un taux d’exécution physique de 20 %.

A l’analyse, pour 124 projets prévus dans le Moungo pour une valeur de 1 637 844 000F CFA, le taux d’exécution physique est de 40% ; c'est-à-dire en de ça de la moyenne. La faute étant attribuée aux gestionnaires communaux qui détenaient la plus grande enveloppe et qui n’en ont exécutés que 32 %

Une situation bien alarmante à deux mois de la fin de l’exercice budgétaire et qui vient poser la problématique globale de la passation des marchés autant que celle de la capacité des maires à participer effectivement à la mise en œuvre de la politique de décentralisation portée par les pouvoirs publics.

Au total, le Moungo continue à passer à côté de nombreux projets qui tombent à forclusion du fait des attributions fantaisistes des marchés à des prestataires incompétents, de l’incapacité de plusieurs maires à accompagner le processus, etc…

Jean de dieu Djouguela

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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 10:05

L’examen certificatif du Certificat d’Etudes Primaires (CEP) et le FSLC ont connu une reforme dans leur déroulement suite à des Arrêtés du Ministre de l’Education de Base dont les N°055/B1/1464/MINEDUB/CAB et 054/B1/1464/MINEDUB/CAB.

Le CEP qui s’écrivait, se corrigeait et dont les résultats se publiaient au niveau des arrondissements alors appelés centres d’examens a changé de processus. Désormais, la phase écrite se déroule dans les sous centres dits d’écrits coordonnés au niveau des arrondissements par des inspecteurs d’arrondissement alors appelé chefs de centres d’écrit.

La seconde phase qui est consacrée aux corrections, aux délibérations et à la promulgation des résultats définitifs, se déroule au niveau des chefs lieux des départements avec des exceptions dans le Mfoundi et Wouri, éclatés en deux centres respectivement. Ici, on parle de centres de correction et de délibération chapeautés par les délégués départementaux à l’exception des centres du Wouri, du Mfoundi et du FSLC.

Pour cette session2015, le Moungo est en passe de réussir la tenue du CEP reformé. Les activités sportives, pratiques et la phase écrite se sont bien déroulées. Ce constat a d’ailleurs été fait par l’émissaire du MINEDUB, Monsieur Ndong Soumhet, secrétaire d’Etat au MINEDUB, qui a séjourné dans le sous-centre d’écrit de l’école publique de Bomono Gare dans l’arrondissement de Dibombari lors de la phase écrite. Les corrections ont eu lieu et se sont déroulées sereinement tout comme tout est réuni pour le bon déroulement des délibérations, du traitement informatique des données statistiques. Le chef de centre et ordinaire du lieu, EsaÏe Privat Komo, Délégué départemental de l’Education de Base pour le Moungo, veille au grain. Il a loti son centre de correction à l’école d’application la Référence de Mbaressoumtou -Aviation, dans le troisième arrondissement de la ville de Nkongsamba. Des indicateurs pertinents tels que le sérieux et la motivation des intervenants donnent d’entrevoir une issue heureuse de cette session du CEP 2015 avec la promulgation le 3 juillet 2015 des résultats, certainement par le préfet du département du Moungo.

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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 09:59

Conformément aux instructions officielles, le Centre de Formation Professionnelle des Jeunes(CFPJ)de Baré a organisé ce 4 Juin 2015,ses journées portes ouvertes destinées à un public constitué par des parents ,des jeunes écoliers et collégiens de Baré Bakem et ses environs.

Présidées par Alain Prosper Abah Abah, sous-préfet de Baré Bakem, avec à ses côtés, Moise Manga, Délégué départemental de l’Emploi et de la Formation Professionnelle (DDFOP) pour le Moungo, Ngoasib………………..,Délégué d’arrondissement de la Jeunesse de Baré Bakem, le maire de Baré représenté par son secrétaire général. Devant un parterre de parents, l’administration du CFPJ conduite par le Directeur Ngoty Jean et les apprenants, sous la houlette de leurs formateurs ont, non seulement présenté le CFPJ mais ont aussi mis en exergue les acquis à mis parcours des apprenants.

Dans son discours de bienvenue, le Directeur du CFPJ, Jean Ngoty a seulement évoqué la genèse du centre et ses acquis, mais a surtout annoncé quelques projets d’avenir dont la réouverture de filières sollicitées par les parents et les jeunes demandeurs. Lui emboitant le pas, Moise Manga, le DDFOP-Moungo a situé les journées portes ouvertes dans leur contexte à savoir « familiariser et sensibiliser le public avec le Centre de formation, mais aussi d’évaluer à mi-parcours les aptitudes professionnelles des apprenants… ».Moise Manga fera une emphase sur l’importance de la formation professionnelle et va inviter les apprenants du CFPJ de Baré à saisir cette opportunité qui leur est offerte pour bien se former. Dans son propos de circonstance, le sous-préfet Abah Abah Prosper a exalté « l’initiative de ADEFE-NLATI qui dans le cadre de la coopération NIPPO-Camerounaise a doté Baré Bakem de ce centre de formation… ».Le sous-préfet de Baré Bakem exhortera les formateurs à bien former leurs apprenants, les apprenants à être « assidus, dévoués, curieux,…, afin de quitter le CFPJ bien outillés ». AUX parents, le numéro un de l’arrondissement a demandé de bien accompagner les formateurs dans l’encadrement des apprenants et a aider à l’installation de ces derniers. Au terme de ces interventions orales, le sous-préfet a procédé à la coupure du ruban, marquant ainsi l’ouverture des journées portes ouvertes au CFPJ de Baré. Trois ateliers ont été visités à savoir secrétariat Bureautique, couture et maintenance Informatique. Dans chaque ateliers, les apprenants ont présenté au sous-préfet et sa suite et aux autres visiteurs, leurs savoirs faire traduits en termes de réalisations : documents réalisés, tenues et vêtements confectionnés, démonstration de la pratique de maintenance informatique, …, ont été exposés par les apprenants dont la maîtrise a séduit les nombreux visiteurs.

Et c’est avec satisfaction que les visiteurs ont quitté le CFPJ de Baré. Il faut dire que le CFPJ de Baré a été crée en 2006 et a été agrée par le MINEFOP en 2008.Cet agrément a été renouvelé en 2011 et à ce jour, trente quatre camerounais formés par le CFPJ de Baré sont opérationnels. Le CFPJ de Baré bénéficie de plus en plus de la confiance des parents. Ce qui se traduit par le nombre croissant des apprenants qui y sont en formation. C’est d’ailleurs pour répondre à cette demande croissante des parents et des jeunes en quête de formation professionnelle que le CFPJ entend ouvrir de nouvelles spécialités telles que la coiffure, la cuisine et bien d’autres.

Par la mise en œuvre du CFPJ de Baré comme pour ses autres projets dont elle est la cheville ouvrière, l’association pour le développement de la l’enfant et de la Femme (ADEF-Nlati), entend offrir à cette catégorie de la population de Baré- Bakem, les capacitations nécessaires à son épanouissement. Le CFPJ de Baré fait partie de nombreuses initiatives et projets mis en place par ADEFE Nlati dont la radio communautaire de Baré Bakem, les cérémonies de remise de prix aux élèves méritants des unités scolaires de Baré Bakem, les soutiens pluriels apportés aux indigents et autres démunis.

« Le CFPJ de Baré compte aujourd’hui une trentaine d’apprenants en cours de formation et dispose d’installations logistiques et infrastructurelles pouvant accueillir davantage… » a révélé madame MEFIRE, la représentante de la fondatrice et présidente de ADEFE – Nlati, Madame Lysette Nkoue. Ce qui augure d’une rentrée 2015 – 2016 plus dynamique encore au CFPJ de Baré.

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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 09:59

Conformément aux instructions officielles, le Centre de Formation Professionnelle des Jeunes(CFPJ)de Baré a organisé ce 4 Juin 2015,ses journées portes ouvertes destinées à un public constitué par des parents ,des jeunes écoliers et collégiens de Baré Bakem et ses environs.

Présidées par Alain Prosper Abah Abah, sous-préfet de Baré Bakem, avec à ses côtés, Moise Manga, Délégué départemental de l’Emploi et de la Formation Professionnelle (DDFOP) pour le Moungo, Ngoasib………………..,Délégué d’arrondissement de la Jeunesse de Baré Bakem, le maire de Baré représenté par son secrétaire général. Devant un parterre de parents, l’administration du CFPJ conduite par le Directeur Ngoty Jean et les apprenants, sous la houlette de leurs formateurs ont, non seulement présenté le CFPJ mais ont aussi mis en exergue les acquis à mis parcours des apprenants.

Dans son discours de bienvenue, le Directeur du CFPJ, Jean Ngoty a seulement évoqué la genèse du centre et ses acquis, mais a surtout annoncé quelques projets d’avenir dont la réouverture de filières sollicitées par les parents et les jeunes demandeurs. Lui emboitant le pas, Moise Manga, le DDFOP-Moungo a situé les journées portes ouvertes dans leur contexte à savoir « familiariser et sensibiliser le public avec le Centre de formation, mais aussi d’évaluer à mi-parcours les aptitudes professionnelles des apprenants… ».Moise Manga fera une emphase sur l’importance de la formation professionnelle et va inviter les apprenants du CFPJ de Baré à saisir cette opportunité qui leur est offerte pour bien se former. Dans son propos de circonstance, le sous-préfet Abah Abah Prosper a exalté « l’initiative de ADEFE-NLATI qui dans le cadre de la coopération NIPPO-Camerounaise a doté Baré Bakem de ce centre de formation… ».Le sous-préfet de Baré Bakem exhortera les formateurs à bien former leurs apprenants, les apprenants à être « assidus, dévoués, curieux,…, afin de quitter le CFPJ bien outillés ». AUX parents, le numéro un de l’arrondissement a demandé de bien accompagner les formateurs dans l’encadrement des apprenants et a aider à l’installation de ces derniers. Au terme de ces interventions orales, le sous-préfet a procédé à la coupure du ruban, marquant ainsi l’ouverture des journées portes ouvertes au CFPJ de Baré. Trois ateliers ont été visités à savoir secrétariat Bureautique, couture et maintenance Informatique. Dans chaque ateliers, les apprenants ont présenté au sous-préfet et sa suite et aux autres visiteurs, leurs savoirs faire traduits en termes de réalisations : documents réalisés, tenues et vêtements confectionnés, démonstration de la pratique de maintenance informatique, …, ont été exposés par les apprenants dont la maîtrise a séduit les nombreux visiteurs.

Et c’est avec satisfaction que les visiteurs ont quitté le CFPJ de Baré. Il faut dire que le CFPJ de Baré a été crée en 2006 et a été agrée par le MINEFOP en 2008.Cet agrément a été renouvelé en 2011 et à ce jour, trente quatre camerounais formés par le CFPJ de Baré sont opérationnels. Le CFPJ de Baré bénéficie de plus en plus de la confiance des parents. Ce qui se traduit par le nombre croissant des apprenants qui y sont en formation. C’est d’ailleurs pour répondre à cette demande croissante des parents et des jeunes en quête de formation professionnelle que le CFPJ entend ouvrir de nouvelles spécialités telles que la coiffure, la cuisine et bien d’autres.

Par la mise en œuvre du CFPJ de Baré comme pour ses autres projets dont elle est la cheville ouvrière, l’association pour le développement de la l’enfant et de la Femme (ADEF-Nlati), entend offrir à cette catégorie de la population de Baré- Bakem, les capacitations nécessaires à son épanouissement. Le CFPJ de Baré fait partie de nombreuses initiatives et projets mis en place par ADEFE Nlati dont la radio communautaire de Baré Bakem, les cérémonies de remise de prix aux élèves méritants des unités scolaires de Baré Bakem, les soutiens pluriels apportés aux indigents et autres démunis.

« Le CFPJ de Baré compte aujourd’hui une trentaine d’apprenants en cours de formation et dispose d’installations logistiques et infrastructurelles pouvant accueillir davantage… » a révélé madame MEFIRE, la représentante de la fondatrice et présidente de ADEFE – Nlati, Madame Lysette Nkoue. Ce qui augure d’une rentrée 2015 – 2016 plus dynamique encore au CFPJ de Baré.

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