Malgré l’opposition catégorique des militants RDPC du Moungo- Nord parlementaire à sa campagne de distribution du riz, le député baptisé « député aux boites de riz » est revenu à la charge en faisant le tour des arrondissements de cette circonscription parlementaire du Moungo Nord.
Le député SIME Pierre qui cherche vainement à faire oublier le tort que son absence de bilan pertinent a causé au candidat Paul Biya lors du scrutin présidentiel du 7 Octobre 2018, fait feu de tout bois sauf que leurs limites ont été mises à nu.
Sa prétendue main mise et son illusoire contrôle des bamilékés du Moungo, se sont avérés être des mensonges. Du coup, le « Député aux boites de riz» a pensé se servir de cette initiative nocive de distribution de quelques boites de riz, pompeusement baptisé « arbre de noël. »Pour se refaire une certaine santé Politique.
Malheureusement pour lui, la base politique semble avoir marre de cette poudre que Sime Pierre balance aux yeux des Militants du RDPC dans le Moungo nord parlementaire..
L’opposition de sa majesté ENONE Eugène, président de la section RDPC du Moungo Nord Est 1 à Mélong et l’exigence de la réorientation de cet « arbre de noël. », ont illustré l’état d’esprit de cette base militante RDPC. A travers une lettre suffisamment pertinente adressée au député Sime Pierre, le patron politique RDPC de Mélong a été clair non sans suggérer des alternatives. Sauf que sa démarche aurait été carrément méprisée par SimePierre.
Dans la même veine, Baré-Bakem à travers sa jeunesse n’a pas caché son embarras face à cet « arbre de noël. » sans consistance. Serge Epangue, le président de la section OJRDPC du Moungo Nord –Est 2 confie très remonté « ces descente de distribution du riz par l’honorable Sime Pierre ne nous arrangent pas. Elles sont contres productives, tant la nature des dons et leurs qualités sont plutôt des sources de tentions que nous devons gérer après ses passages .Nous lui avons dit en face et nous espérons qu’il ne nous plongera plus dans l’embarra ». Du côté de Nlonako , dans la section du Moungo Nord –Ouest , il est établi que cet arbre de Noël n’est plus le bienvenu depuis belle lurette.
A Loum, alors qu’un membre du BINAM de Loum parmi les plus truculents, avait essayé de faire avorter le séjour de Sime Pierre « le député aux boites de riz. » a reçu en plein visage l’opposition des militants RDPC du Moungo centre 1 à Loum, face aux descentes de celui –ci. Par la voix de la présidente de la section RDPC du Moungo centre 1, Charlotte Nlende, s’exprimant aux noms des militants RDPC de Loum, a fait savoir au député Sime Pierre que leur leader est Louis Henri Nganctha, le membre titulaire du Comité Central. Elle a dit que les Militants de Loum lui recommandent de s’assurer, lors de ses prochaines venues à Loum,qu’il est accompagné de Louis Henri Nganctha ,sinon il ne sera pas reçu.
Cette même ambiance prévaut à Nkongsamba 3ème, dans les sous-sections de Nkongsamba 2èm et 1er, ou le riz a été purement boycotté. Manjo n’est pas en reste. Toutes choses qui attestent de ce que « Sime Pierre, trois mandats après, sans un bilan structurant, est plus un problème qu’un atout pour le RDPC dans le Moungo Nord parlementaire … »aux dires de maxime Eboule , un Militant RDPC de Nkongsamba . Cela se justifie barouds dont il est l’objet lors de ses descentes.
Après la grande victoire de son candidat Paul Biya à l’élection présidentielle du 7 octobre 2018 pour laquelle elle a joué un rôle majeur, Dr Elise Henriette Essame, le maire de la commune d’arrondissement de Nkongsamba 3ème passe à l’offensive en faveur de ses populations.
Malgré le peu de ressources propres de sa collectivité territoriale, le premier magistrat municipal de Nkongsamba 3ème s’est remise sur le terrain pour poursuivre son projet de développement. Avec un budget de 905 523 011 f CFA voté en Novembre 2018, Dr Elise Henriette Essame et ses équipes entendent peaufiner le bilan déjà admirable jusqu’ici. Dans le cadre du contrat de ville signé avec le ministère de l’habitat et du Développement Urbain conjointement avec la communauté urbaine de Nkongsamba, le maire de Nkongsamba 3ème a réussi à obtenir le financement de nombreux projets structurants pour sa commune.
A côté de cet exploit qui va soutenir la haute vision de du premier magistrat municipal de Nkongsamba 3ème, elle aussi réussi le pari de lancer l’élaboration du plan communal de développement (PCD) avec le soutien du PNDP à travers sa troisième phase. Ce PCD en élaboration et dont le lancement des travaux a eu lieu le … sera la boussole de l’action de développement communal à Nkongsamba 3ème et va traduire les aspirations prioritaires des populations.
Pendant que Dr Elise Henriette Essame bouclait la formalisation des documents elle est restée présente sur le terrain, aux côtés de ses populations. Elle a lancé les travaux de construction de deux axes routiers importants. L’axe qui va de Mbaressoumtou à Ndoungué dont, outre l’effet de désenclavement, l’impact sur le déplacement des populations et surtout sur l’évacuation des produits des plantations sera notable. L’axe EkolMbeng – Mboriko, avec une incidence profitable de viabilisation de cette localité aux potentialités touristiques établies. Toujours dans sa politique de proximité avec ses populations, le maire d relise Henriette Essame a procédé au lancement du marché de vivres du village Poola. Un espace marchand destiné à offrir aux producteurs de ce village, un point de ravitaillement où les producteurs et les acheteurs se retrouvent. Un acquis qui prédestine le village Poola à bénéficier d’un hangar dont le maire Dr Elise Henriette Essame a promis de travailler à la construction une fois que le village aura mis à disposition un terrain.
Le numéro communal de Nkongsamba 3ème, Dr Elise Henriette Essame, est restée égale à elle-même dans sa démarche qui consiste à prêter une attention soutenue à la jeunesse et aux femmes de sa commune. C’est ainsi qu’elle a soutenu et veillé à la bonne tenue de l’assemblé générale de l’antenne communale Conseil National de la Jeunesse du Cameroun(CNJC) de Nkongsamba 3ème sous la houlette de son président, OkandoEpoh et du réseau des association féminines de l’arrondissement (RAFA) de Nkongsamba 3ème. Sans relâche, le maire de Nkongsamba 3ème a gardé un contact pertinent avec les chefs de villages, les chefs des quartiers, les chefs de blocs, les présidents des comités de développement de sa commune en perspective à de nombreuses actions de développement et de maintien de l’hygiène et salubrité qu’elle va impulser dans les semaines à venir.
Cette offensive structurante du maire Dr Elise Henriette Essame est indubitablement un indicateur pertinent de ce qu’aura été ce mandat si les empêcheurs de tourner en rond ne s’étaient pas dévoués en vain pour retarder sans réussir à bloquer cette dynamique de développement. A ce jour, la commune d’arrondissement de Nkongsamba 3ème est la seul collectivité territoriale décentralisée de Nkongsamba et l’une des rares du département du Moungo à disposer d’une source de revenus mensuels propres sûrs de deux millions de francs CFA à travers les logements communaux conventionnés.
La mairesse de Nkongsamba 3ème, Dr Elise Henriette Essame, n’y va pas avec la pédale douce, car elle a à cœur l’amélio
ration des conditions de vie de ses mandants. Une disposition de cœur qui fait d’elle une « maman » que les populations portent en triomphe chaque fois qu’elle descend sur le terrain.
De mémoire de journaliste, très peu d’élus locaux, très peu de maires peuvent être comptés du nombre de ceux qui, en un mandat, ont transformé en bien le visage de leurs collectivités. Et parmi ces perles rares, l’on peut citer le maire Jean Kuete de Mélong.
Elu à la tête de la commune de Mélong en 2013 dans des circonstances où certains manœuvraient pour l’en écarter, Jean Kuete a réussi le pari, en cinq ans plus un, de changer le visage de sa commune. Le maire Kuete dans un rythme constant, a boosté la modernisation de Mélong. Du désenclavement des villages à l’assainissement du périmètre urbain enpassant par les équipements marchands, hospitaliers, l’entretien de la voirie, les infrastructures sportives, scolaires, et l’attention accordée à ses populations, sont les axes de dévouement du maire Kuete Jean au service de ses populations.
Depuis 2013, l’artisan du développement Jean Kuete est resté égal à lui-même, cravachant tous azimuts pour apporter, autant que faire se peut, des réponses pertinentes aux préoccupations de ses populations.
Le stade municipal de Mélong, la prise en main et la montée de Stade Renard de Mélong en élite one, le ramassage régulier des ordures ménagères, le reprofilage des routes des quartiers, des villages, des plantations, la construction et l’équipement des salles, les stages de vacances, l’appui à l’organisation des mariages collectifs, la construction et la réhabilitation de plus d’une centaine de boutiques au marché central de Mélong, le renforcement de l’éclairage public, l’acquisition de matériels roulants de haute facture pour le ramassage des ordures, etc, sont là quelques clichés admirables des nombreuses actions du maire Kuete Jean.
En cette année 2019, année de rallonge du mandat, alors que de nombreux maires ont lâché du lest et se consacrent à ce que pourrait être leur sortie de scène, le maire de Mélong est à l’ouvrage. Avec la même ardeur, la même motivation et le même rythme effréné, le maire jean kuete est au travail : A peine a-t-ilfini de reprofiler le tronçon infernal Njijou village - Mouanguel-Mbokambo, que le maire kuete jean a doté la morgue municipale d’une salle de mise en bière et de recueillement et d’une clôture. Comme si cela ne suffisait pas le premier magistrat municipal de Mélong a fait réaliser un ouvrage pour relier Mankwa à Essekou par Nkandjou, s’est attelé à la construction de trente nouvelles boutiques au marché central de Mélong ; la cerise sur le gâteau des actions du maire de Mélong en ces deux premiers mois de l’année 2019, c’est la toilette architecturale de l’hôtel de ville de Mélong. Ce bâtiment construit sous le magistère de son prédécesseur n’a jamais pu être utilisé du fait de quelques malfaçons le rendant non opérationnel. Comme un défi qu’il s’est lancé à lui-même, le maire kuete jean s’est engagé à corriger ces malfaçons mieux le maire kuete jean est en train de doter l’hôtel de ville de Mélong d’autres commodités utiles pour ce bâtiment de souveraineté important.
C’est donc une dernière ligne droite encore plus riche en réalisations que le maire de Mélong aborde. Et pour qui connait cet acteur de développement fou amoureux de sa collectivité, il n’ y a aucun doute que Mélong a encore beaucoup à recevoir de cet homme providentiel qu’est le maire kuete jean.
Alors qu’un mandat d’amener pend sur sa tête depuis plus de quatre ans au Cameroun, le prédicateur camerounais et grand défenseur des droits humains, Kamdem Nembot Brice qui est en fuite à l’Etranger, continue de prendre faits et causes pour les séparatistes qui sévissent au Nord- Ouest et au Sud- Ouest. Un Comportement qui conforte les autorités camerounaises sur ses précédents rapports avec ces seigneurs de la guerre qui veulent déstabiliser le Cameroun.
Depuis plusieurs années, l’on avait découvert le pasteur Kamdem Nembot Brice, comme l’appellent ses ouailles et tous ceux qu’il a pris sous sa protection. Ce dernier était le leader d’une Eglise d’obédience pentecôtiste, dénommée « l’Eglise du Calvaire » et qui avait placé son ministère sous le signe de la prédication de la paix, de la tolérance et de la défense des droits humains. Une posture saluée par tous et qui avait suscité l’adhésion de nombreux camerounais qui accouraient à ses chapelles et à ses campagnes d’évangélisation. Sauf que les discours du pasteur Kamdem Nembot Brice ont commencé à prendre des contenus très vindicatifs pour les autorités camerounaises. Sillonnant les villes de Douala, Bamenda, Buea, Yaoundé, etc, pour ses campagnes d’évangélisation, le pasteur Kamdem Nembot prenait à partie les autorités camerounaises.
Il se disait « investi d’une mission de purification et d’exorcisation de certaines pratiques peu orthodoxes » dont il attribuait les causes aux autorités camerounaises. Dans ses nombreuses prêches, pasteur Kamdem Nembot décriait les pratiques de corruption, de népotisme, de favoritisme et surtout l’inégale répartition des richesses du Cameroun. Toutes choses qui d’après le révérend Brice Kamdem Nembot « généraient des frustrations chez la majorité des populations dont les droits étaient bafouées par une minorité… ». Le jeune pasteur se disait « … être issu d’une famille très pieuse et élevé dans les valeurs de respect, de tolérance et d’amour… ». Des valeurs qui, selon lui, l’ont « rendu sensible au mal-être de ses semblables… ».Il en était arrivé même à dénoncer la loi camerounaise qui punit l’homosexualité et d’autres pratiques sexuelles déviantes. Pour étayer ses prises de position à ce sujet Pasteur Brice Kamdem Nembot soutenait que « quelque- soit la faute commise par un être humain, l’envoyer en prison n’est pas la solution. Il faut lui donner la chance de se repentir... ». Un discours qu’il disait tirer de la bible. En public lors de ses campagnes d’évangélisation comme dans ses lieux de prières, pasteur Brice dénonçait, décriait et interpellait les autorités sur les injustices qui selon lui émanaient d’elles. « Que ce soit dans les tribunaux, dans les commissariats, dans les services publics,…, ceux qui sont en position de pouvoir marchent sur les petites gens, sur les démunis... Ce n’est pas juste et je perds le sommeil lorsque je constate que des gens dorment dans le noir dans des quartiers de Limbé alors que c’est chez eux que le pétrole est raffiné... Je suis révolté que Bamenda ne soit pas relié à Nkambe par une bonne route alors que ces populations ont aussi droit au partage de la richesse nationale…» a- t- il déclaré un jour lors d’une campagne d’évangélisation à Limbé dans le Sud-Ouest du Cameroun, rapporte un de ses lieutenants sous anonymat.
En somme, pasteur Kamdem Nembot Brice était devenu un pourfendeur des autorités camerounaises et se servait du bouclier de ses sermons qui étaient des engrais pouvant susciter le soulèvement populaire. Des anciens membres de sa chapelle affirment à demi -mot que « pasteur Brice avait la dent trop dure contre le gouvernement il ne pouvait pas prononcer une prédication sans établir un lien avec les autorités de notre pays… ». Certains soutiennent que « la récurrence de ses diatribes contre les autorités de notre pays nous mettaient mal à l’aise mais il avait aussi le don de soutenir les gens qui souffraient et qui étaient dans le besoin. Ce qui nous amenait à continuer à aller prier dans son église ».
Cette tendance du pasteur Kamdem Nembot Brice à utiliser son église pour tenir des discours aux allures subversives lui avaient valu d’être entendu dans certains commissariats et mêmes des brigades de gendarmerie où il a quelques fois été gardé à vue pour besoin d’enquêtes. Sauf qu’une fois relâché, il maintenait le cap. Une attitude qui avait amené les autorités camerounaises, habituellement très tolérantes, à fermer les lieux de prière crées par ce pasteur. Malgré cela, Pasteur Brice Kamdem Nembot a continué à prêcher dans l’illégalitéconvaincu qu’ « aucune loi ne peut empêcher de répandre la parole… » rapporte la diaconesse Imélda.
Parti donc pour un de ses nombreux séminaires en Europe dans la deuxième quinzaine du mois d’Avril 2015, pasteur Brice Kamdem Nembot n’est plus jamais revenu au pays. Des sources rapportent qu’à l’époque, alors qu’il s’apprêtait à regagner le Cameroun, il a été informé de ce qu’une information judiciaire était ouverte contre lui.Un des collaborateurs de pasteur Kamdem Nembot déclare que, « c’est un ami que nous avons dans les services de renseignements qui nous a prévenus de ce que notre leader était recherché et qu’il allait être enfermé… nous avons dû demander à notre pasteur de ne pas revenir au pays… Il a voulu insister pour rentrer mais nous l’en avons dissuadé ». Il serait reproché au pasteur Brice Kamdem Nembot, la tenue des réunions non autorisées, la promotion de l’homosexualité, la rébellion face à la fermeture de sa congrégation, etc. Des faits qui sont durement réprimés par la loi camerounaise et pour lesquels il devrait être sanctionné pour que cela n’inspire d’autres illuminés.
Au bénéfice des désordres orchestrés dans les Régions du Nord- Ouest et du Sud-Ouest de puis 2016 et qui sont amplifiés par une certaine diaspora camerounaise, l’on vu le pasteur Kamdem Nembot Brice, dans une rue en Europe, certainement en Angleterre, défilant avec d’autres Camerounais et brandissant des messages hostiles au pouvoir en place au Cameroun. Des images publiées sur les réseaux sociaux permettent de voir que ce pasteur a pris part au meeting du 19 Janvier 2019 et surtout à celui du 26 janvier 2019 à Londres.Toutes choses qui permettent de constater que ce pasteur est devenu un activiste politique radicalisé en Europe. Aurait-il pris la carte d’un parti politique de l’opposition camerounaise ? Tout pousse à répondre par l’affirmative. Des images qui ont donné raison aux autorités camerounaises. Celles-ci avaient déjà perçu chez le pasteur Kamdem Nembot Brice des accointances avec les groupes qui saquent l’image du Cameroun.
Il est donc clair que ce pasteur a pactisé avec les ennemis du Cameroun et l’information judiciaire ouverte contre lui au Cameroun trouve tout son sens. Les dispositions légales qui répriment l’hostilité à la patrie s’appliquant à lui avec fondement à travers l’Article 102 du code pénal camerounais. Ce dernier ayant démontré depuis qu’il était encore au Cameroun qu’il combattait les institutions républicaines.Des gens comme le pasteur Kamdem Nembot Brice et leurs acolytes doivent répondre de leurs actes à la limite antipatriotiques.
Plusieurs de ses détracteurs diront qu’ils l’ont vu venir. Mais les plus futés se positionneront dans le sillage des effets que la nouvelle posture de Christian Penda Ekoka peut générer dans le microcosme politique dont il est originaire
Christian Penda Ekoka, manager aguerris, économiste de haut vol, toujours chargé de mission à la présidence de la république du Cameroun et militants rénovateurs du RDPC, vient de jeter un pavé dans la mare politique camerounaise.
Il vient d’exprimer son soutien à la candidature de Maurice Kamto, le candidat du MRC. Si cette annonce n’a pas forcément surpris eu égard à ses récentes prises de positions très critiques vis-à-vis du système actuel de gouvernance au Cameroun, Penda Ekoka vient de déclencher un vent de panique dans le canton Deido-Douala dont il est originaire et dont il est un prince. La panique est toujours perceptible chez ses frères en fonction dans le sérail. Des observateurs avertis estiment qu’ « …en se ralliant à Maurice Kamto dans le cadre de l’élection présidentielle du 7 octobre 2018, Christian Penda Ekoka, met en difficulté tous les Douala du gouvernement de Paul Biya et singulièrement ceux de Deido… ». Les premiers de ceux qui se sentent menacés ici sont Laurent Esso, le ministre d’Etat grade des sceaux et son « protégé » Dr Fritz Ntone Ntone, l’actuel délégué du gouvernement auprès de la communauté urbaine de Douala.
Ces deux porte-étendard du RDPC dans le canton Deido auront véritablement mailles à partir avec en face d’eux un certain Penda Ekoka Christian. Ce dernier semble être rentré dans l’estime de nombreux jeunes dont des Deido, qui jugent ses « … analyses de la situation camerounaise très pertinentes… »
Des sources dignes de foi rapportent que «Ntone Ntone fritz aurait été très contrarié par le ralliement de son frère Penda Ekoka à Maurice Kamto. Le délégué du Gouvernement aurait laissé entendre que ce ralliement est une menace pour le candidat Paul Biya dans le canton Deido. La vérité c’est que, les cadres du RDPC originaires de ce canton, se sentiraient très mal à l’idée d’avoir en face d’eux Christian Penda Ekoka. Ce dernier ayant « … la réputation d’un technocrate qui maitrise son sujet et qui a la capacité de démolir de nombreux griots qui ressassent le même disque depuis trois décennies… », déclare un jeune de la vallée de la Besseke, apparemment très fan de Penda Ekoka.
Penda Eekoka Christian est-il vraiment une menace pour le RDPC dans le canton Deido. ELECAM nous le dira aux lendemains du 7 octobre 2018
Ils étaient plus de cinq mille ressortissants et descendants des ressortissants du Grand-Ouest du Moungo, venus des treize arrondissements du département du Moungo rassemblés à la place des fêtes de Loum ce 19 septembre 2018
C’était en réponse à l’appel de leur président national, Louis Henri Ngantcha, qui les y a conviés à venir prendre position relativement à l’actualité majeure au Cameroun à savoir l’élection présidentielle du 7 Octobre 2018. Les membres de l’AROM qui n’ont jamais caché leur sympathie pour Paul Biya, ont voulu réaffirmer, autour de leur leader, Louis Henri Ngantcha, leur soutien à la candidature de l’actuel président de la République du Cameroun. Et Pour ce faire, L’AROM a convié le préfet du département du Moungo qui pour la circonstance était représenté par Pascal Zoua, Sous-Préfet de Loum. Au rang des invités de marque, l’on a noté les présences du sénateur Jean jules EbongueNgoh, Président national du REGEMO, de Roger Mbongo, élite du Moungo et de nombreux chefs de services publics, para publics, privés.
De Roger Nyadjou, le président de l’antenne AROM de Loum qui a souhaité la bienvenue à misterKimbeng Cornelius, conseiller municipal à Mombo, qui a porté la parole des ressortissants du Nord-Ouest, à Thomas Vaillant youmbissi, le coordonnateur départemental de l’AROM qui a rendu publique la déclaration de L’AROM en faveur de Paul Biya, en passant par Jean Jules EbongueNgoh qui a exalté la bonne entente entre le Regroupement des enfants du Moungo qu’il dirige et l’AROM en mettant en exergue la convergence de vue autour du développement du Moungo et de ses populations, le trait commun aura été la mobilisation de tous les ressortissants et descendants des ressortissants du Grand-Ouest du Moungo en vue d’un large plébiscite du président Paul Biya le 7 Octobre 2018. Des interventions qui ont fondé Louis Henri Ngantcha, Le président national de l’AROM, dans son discours de circonstance. Sans langue de bois et avec des arguments convaincants, Louis Henri Ngantcha a mis ses frères , ses sœurs, ses parents ressortissants du Grand-Ouest du Moungo devant leurs responsabilités historiques :Celles de ne pas freiner le développement du département du Moungo par un mauvais vote et le choix du président Paul Biya qui « reste le seul qui puisse promouvoir les enfants du Moungo autant qu’il peut offrir les moyens pour le développement des treize unités administratives de ce grand département. Louis Henri Ngantcha a appelé les ressortissants du grand-Ouest du Moungo à « voter utile, à voter positivement, à choisir le président Paul Biya qui a la carrure, l’expérience et la sagesse nécessaires pour gérer un grand pays comme le Cameroun.. ». Une intervention qui a trouvé l’assentiment des milliers de ressortissants du Grand-Ouest du Moungo rassemblés à Loum, si l’on en juge par les ovations nourries qui l’ont accompagnée. Et pour ne pas faire les choses à moitié, Louis Henri Ngantcha a offert des dons en pulvérisateurs à toutes les communautés du grand-Ouest de Loum.
Ce meeting de soutien à la candidature du président Paul Biya en vue de l’élection présidentielle du 7 Octobre 2018 organisée par L’AROM a permis de confirmer la capacité de mobilisation de cette association en laquelle, les ressortissants du grand ouest du Moungo se reconnaissent. Bien plus, Louis
Henri Ngantcha par le succès de ce meeting géant a rabattu le caquet à tous ses détracteurs car il a montré en Mondo vision qu’il est charismatique, que son leadership n’est pas usurpé et que son élection au comité central du RDPC était la suite logique de la reconnaissance d’un militantisme dévoué.
Après Loum, l’AROM entend se déployer dans tous les arrondissements du Moungo pour battre campagne en faveur de Paul Biya. L’étape de Mombo est programmée pour le 28 septembre 2018.
Alors que la nouvelle année scolaire 2018-2019 abordait sa troisième semaine, le maire Kuete Jean de la commune de Mélong vient de s’acquitter d’un devoir régalien. Remettre aux directeurs des écoles publiques de sa collectivité les paquets minimums destinés au fonctionnement des unités scolaires.
C’était au cours d’une cérémonie tenue dans la salle polyvalente de la mairie de Mélong sous l’œil bien attentif du sous-Préfet de Mélong, William EkemaMugambo. Ayant souhaité la bienvenue aux Directeurs d’écoles, le maire Kuete a rappelé l’historicité des paquets minimums à savoir que cela se situe dans le cadre des transferts des compétences des ministères aux collectivités territoriales décentralisées. Il dira donc qu’il s’acquittait d’une mission à lui conférée par la ministre de l’éducation de base. Jean kuete, fidèle à son habitude, tenant compte de la modicité de l’enveloppe et la forte carte scolaire de l’éducation de base, a ajouté des moyens supplémentaires pour compléter ceux transférés par la MINEDUB. Un renforcement supplémentaire qui aura donné de la consistance aux matériels didactiques remis aux directeurs d’écoles. Des cahiers de préparations aux boites de craie en passant par des crayons à bille et l’ardoisine et de petits matériels de premiers soins, etc, les directeurs d’écoles publiques ont reçu les paquets minimums que certains d’entre eux ont qualifié de « Paquets maximums ».
La nouvelle année scolaire est donc lancée dans l’éducation de base de Mélong et il a été recommandé aux bénéficiaires de faire bon usage des matériels reçus.
Les populations camerounaises iront le 7 Octobre 2018 élire le président de la République pour les sept prochaines années.Et comme en pareilles circonstances, il est question d’intérêts, d’enjeux, d’opportunités, Les candidats font des offres, les électeurs font des choix. Chaque choix étant ici motivé par ce qu’on gagne ou croit gagner.
Le département du Moungo fait l’objet de toutes les convoitises des candidats en ce sens que tous sollicitent les suffrages de ses habitants. Et ces habitants alors ? Savent-ils vraiment ce qu’ils veulent ? Quel type de président de la République souhaitent-ils avoir au sortir du 7 Octobre 2018 ? Des neuf candidats en lice, lequel est-il à même de promouvoir les intérêts du Moungo ou tout au moins de les défendre ? Connaissent-ils vraiment les attentes des populations de ce grand département dont la contribution au développement du Cameroun est avérée ?
Quoiqu’il en soit, les populations du Moungo devront se déterminer le 7 Octobre 2018. Faire un choix. Celui de leur département ; Celui de leur terroir ; celui de l’avenir de leurs enfants. Ce département du Moungo –là fait face à des défis qui devraient être ses exigences vis à vis des différents postulants au fauteuil présidentiel. Un Département du Moungo qui aspire à être érigé en Région car il en a la stature, le potentiel économique, humain et historique. Un département du Moungo qui attend d’abriter au moins une faculté intégrale pour la formation de ses enfants. Un département du Moungo qui a le droit de prétendre voir la Nationale numéro 5 qui le traverse être remplacée par une autoroute compte tenu du trafic important sur cet axe et les trop plein de sang versé du fait des accidents causés par l’état de l’actuelle route. Que les arrondissements de Loum, Mélong, Mbanga soient érigés en départements pour répondre à une exigence logique de la croissance de ces localités. Le département du Moungo, du fait de sa proximité avec les ports de Douala et de Tikoa la prétention de vouloir abriter des installations industrielles afin que sa jeunesse puisse trouver des emploisdécents. Mieux, la mécanisation de l’agriculture dans le Moungo, le droit de regard des collectivités locales sur l’exploitation de leurs forêts, de leurs carrières de pouzzolane, etc, sont aussi des attentes fortes des populations du département du Moungo vis-à-vis du potentiel futur président du Cameroun au sortir des urnes le 7 Octobre 2018. Lequel de ces neuf candidats a-t-il les coudées franches pour apporter des réponses pertinentes à ces préoccupations et attentes du département du Moungo et de ses populations ? Ces candidats cernent-ils vraiment ces attentes du département qui a vu naitre Joseph Ernest Essame, Chief Nguime Ekollo, Louis Henri Ngantcha, Professeur Ngetcham, Dr Kollo Basile, RigobertAkolla, Colonel Rose Yvette Yaka, Daniel Mekobe Sone, Nkotti François, Jean Baptiste Mbapte, Pasteur BatomenHenga Isaac, Joseph Sighomnwe, Guy Wambo, Martin Tchamba, etc. ?
C’est ce Moungo là que les candidats au scrutin président du 7 Octobre 2018 iront convaincre. En les attendant, leurs états-majors respectifs sont déjà en campagne électorale. Lejeune MbellaMbella, Georges Cristol Manon, Ernest Mpocko, André NdonoMbanga, Louis Henri Ngantcha, Charly Djomo,…, mobilisent leurs populations pour garantir une victoire éclatante de leur candidat Paul Biya. Dans la Même perspective, l’Association des ressortissants du Grand-Ouest du Moungo (AROM) de Louis Henri Ngantchaa donné le ton avec un meeting géant de soutien à la candidature de Paul Biya. Tout autant, le maire Kuete Jean de Mélong poursuit avec des actions d’éclats qui seront capitalisés par la RDPC pour garantir à Paul Biya un plébiscite à Mélong. En face, le SDF à Loum a déjà élaboré son calendrier de campagne. A Mombo, le RDPC reçoit un soutien de poids avec l’appel à voter pour Paul Biya lancé par le maire en exercice, Jean Blaise Djouokou.
En tout état de cause, le département du Moungo a son mot à dire le 7 Octobre 2018 et il revient à ses populations de faire un choix opérant.
